Placer une partie de son épargne dans des fonds immobiliers permet d'accéder à une classe d'actifs bien spécifique, avec l'acceptation d'un risque de perte en capital mais, en contrepartie, une perspective de valorisation à long terme potentiellement intéressante.
La crise du Covid-19 n'a pas remis en question une certitude partagée par un très grand nombre d'épargnants : l'immobilier reste une valeur refuge. Un constat qui peut être fait quelle que soit la façon d'acquérir les biens : "en direct" (achat d'un appartement, par exemple) ou via des fonds immobiliers ou à thématique immobilière (achat de parts), accessibles notamment dans le cadre d'un contrat d'assurance vie.
Un engouement pour la "pierre papier" qui ne se dément pas
Le succès de ces différents fonds, généralement connus sous l'expression de "pierre papier", n'est plus à démontrer.
Ce succès vaut pour 3 types de supports financiers :
- les SCPI (Sociétés Civiles de Placement Immobilier),
- les SCI (Sociétés Civiles Immobilières),
- les OPCI (Organismes de Placements Collectifs Immobiliers).
Deux raisons essentielles l'expliquent : une mise de départ accessible (quelques centaines d'euros suffisent, ce qui n'est jamais le cas pour un investissement en direct) et la perspective d'un rendement potentiellement supérieur à celui des supports en euros sur le long terme. C'est effectivement une solution adaptée pour diversifier son épargne, et ce bien que comme tous les supports en unités de compte, ces supports présentent un risque de perte en capital1.
Une diversification à plusieurs niveaux
De façon plus spécifique, ce type d'investissement présente des caractéristiques intéressantes. D'abord, la possibilité d'investir dans une classe d'actifs peu sensible aux marchés financiers. Ensuite, la possibilité d'accéder à des actifs immobiliers très diversifiés. Cette diversification joue d'ailleurs à deux niveaux : géographique d'une part, puisque le patrimoine est constitué d'immeubles locatifs situés en France ou en Europe et, d'autre part, selon le type d'activité (immeubles de bureaux, établissements de santé ou encore entrepôts logistiques qui bénéficient actuellement du boom du commerce en ligne).
Des spécificités propres à chaque support
Chaque fonds immobilier a néanmoins ses propres caractéristiques. Ainsi, concernant le contrat d'assurance vie multisupport Afer, les supports Afer Immo et Afer Immo 2 sont des SCI dont l'essentiel du portefeuille est constitué d'actifs "physiques". Ces deux supports en unités de compte1 sont accessibles uniquement par le biais d'enveloppes de souscription dont le montant est limité à chaque ouverture.
A la différence des deux précédents supports, le support Afer Multi Foncier est adossé à un Fonds Commun de Placement (FCP) qui rassemble dans son portefeuille des actifs à la fois immobiliers et financiers (actions, obligations... liées au secteur immobilier, directement ou indirectement) et est ouvert à la souscription tout au long de l'année.
Une plus grande souplesse
Depuis le 20 mai 2020, Afer Experimmo est venu compléter cette gamme de supports à thématique immobilière. Avec une différence importante : ce support en unités en compte1 est proposé sous la forme d'un OPCI, ce qui signifie que son portefeuille est davantage diversifié. En effet, celui-ci est majoritairement investi en actifs immobiliers physiques (60%), mais il comporte aussi une poche financière composée d'actions cotées de sociétés foncières ou du secteur de l'immobilier, d'obligations immobilières et de liquidités. Cette spécificité réglementaire lui confère un avantage : la souplesse. Comme pour le support Afer Multi Foncier, il est possible d'y investir à tout moment et non uniquement lors d'une "fenêtre" de commercialisation.
Les différents types de supports1 évoqués ci-dessus offrent la possibilité aux adhérents du contrat d'assurance vie multisupport Afer d'accéder au marché immobilier et ainsi diversifier l'épargne de leur adhésion. N'hésitez pas à contacter votre conseiller EPARGNE ACTUELLE pour en savoir plus.